Se connecter

Trois suggestions pour entretenir la confiance en soi du consultant indépendant

Devenir consultant indépendant pour ne plus avoir à subir les sauts d’humeur d’un directeur général, les flottements d’une stratégie d’entreprise illisible…

C’est maintenant l’heure de la liberté d’action, pour creuser les aspects de son métier que l’on aime le plus, se sentir utile auprès de dirigeants d’entreprises qui vous écoutent !

Aborder un virage vers le consulting pour aider des entreprises à grandir…

Etc.

Oui mais…

Jour après jour, le stock de confiance en soi du consultant indépendant est grignoté par divers impondérables.

C’est d’abord une affaire de calendrier : tout prend plus de temps que prévu, rendez-vous avec les prospects, démarches diverses, comme une impression de perte de contrôle.

Et puis l’isolement, cette forme de “prison” qui calmerait les ardeurs.

Elle est où la confiance du début ?

Elle n’a pas disparu mais elle est juste en train d’être ensevelie et a besoin d’être entretenue.

Il me semble qu’on peut proposer trois pistes dans ce sens :

  1. Rester en mouvement. L’action dilue le doute et une journée bien occupée apporte de la satisfaction en permettant de valoriser les (petits) succès du quotidien (renouer un lien professionnel, réaliser un support écrit convaincant, un plan d’action…).
  2. Puiser dans l’expérience pré-consulting des preuves de succès pour soi et pour les démonstrations à venir (on peut être à la fois un jeune consultant et un professionnel expérimenté).
  3. Créer ou rejoindre un ou plusieurs collectifs (vous avez remarqué à quel point on est plus mobilisé dans un échange que seul face à son ordinateur !).

 

Vive le travail indépendant !

Articles qui pourraient vous intéresser